Réunion tripartite sur la promotion du dialogue social sur la restructuration et ses effets sur l’emploi dans les industries chimique et pharmaceutique
La Réunion tripartite sur la promotion du dialogue social sur la restructuration et ses effets sur l’emploi dans les industries chimique et pharmaceutique s’est tenue du 24 au 27 octobre 2011 au Bureau international du Travail, à Genève.
L’objet de la réunion, tel qu’il a été fixé par le Conseil d’administration, était d’examiner les meilleures pratiques du dialogue social qui peuvent faciliter l’instauration d’une ambiance constructive et positive pendant les changements structurels et en cas de fusion-acquisition; d’adopter des conclusions comprenant des propositions d’action par les gouvernements, les organisations d’employeurs et de travailleurs et l’OIT.
Ont assisté à la réunion les représentants gouvernementaux des pays suivants: Brésil, Congo, République de Corée, El Salvador, Koweït, Malaisie, Nigéria, Panama, Qatar, Thaïlande, République bolivarienne du Venezuela, ainsi que 17 membres employeurs et 23 membres travailleurs.
Des représentants des organisations non gouvernementales internationales suivantes ont également assisté à la réunion en qualité d’observateurs: Comité international des relations professionnelles des employeurs de l’industrie chimique (LRC), Fédération internationale des syndicats des travailleurs de la chimie, de l’énergie, des mines et des industries diverses (ICEM), Groupe européen des employeurs de la chimie (ECEG) et Organisation internationale des employeurs (OIE).
L’objet de la réunion, tel qu’il a été fixé par le Conseil d’administration, était d’examiner les meilleures pratiques du dialogue social qui peuvent faciliter l’instauration d’une ambiance constructive et positive pendant les changements structurels et en cas de fusion-acquisition; d’adopter des conclusions comprenant des propositions d’action par les gouvernements, les organisations d’employeurs et de travailleurs et l’OIT.
Ont assisté à la réunion les représentants gouvernementaux des pays suivants: Brésil, Congo, République de Corée, El Salvador, Koweït, Malaisie, Nigéria, Panama, Qatar, Thaïlande, République bolivarienne du Venezuela, ainsi que 17 membres employeurs et 23 membres travailleurs.
Des représentants des organisations non gouvernementales internationales suivantes ont également assisté à la réunion en qualité d’observateurs: Comité international des relations professionnelles des employeurs de l’industrie chimique (LRC), Fédération internationale des syndicats des travailleurs de la chimie, de l’énergie, des mines et des industries diverses (ICEM), Groupe européen des employeurs de la chimie (ECEG) et Organisation internationale des employeurs (OIE).