Good Practice

Renforcement des compétences pour l'emploi des jeunes et le développement rural en Afrique de l'Ouest (CEJEDRAO) - Évaluation finale

Description de la bonne pratique

Bonne pratique 1: La pratique de recrutement des prestataires de service sur base des appels d'offres (faire faire) peut être hautement efficace dès que la pratique fonctionne. Cela concerne des activités de l'emploi des jeunes (par exemple l'aviculture, l'apiculture, la cuniculture, l'aulacodiculture, la transformation du soja et le maraîchage) ainsi que la formation professionnelle informelle sur base de l'approche TREE (Formation pour l'Autonomisation Economique Rurale).

Mauvaise pratique 1: Mauvaise pratique 1: Principalement (et aussi dans le contexte du projet CEJEDRAO), les projets, réalisés par des organisations des Nations Unies produisent des coûts de personnel disproportionnellement élevés vis-à-vis des projets, attribués aux prestataires par appel d'offre (international), de plus belle vis-à-vis des projets ONG. Cela provient du fait que des structures salariales ressortent des grilles fixes, au lieu d'avoir une formation des prix dans un marché compétitif. A cela s’ajoute encore les pourcentages raisonnables des coûts additionnels de frais généraux de la structure siège dans son ensemble.
Mauvaise pratique 2: En général les TdR du BIT apparaissent clairs, bien structurés et exigeants. Mais, le peu de temps disponible sur le terrain ne permet que partiellement des réponses approfondies et justifiées. Cela ne concerne non seulement l'évaluation en question mais est considéré comme pratique générale du BIT (voir aussi l`évaluation à mi-parcours). Dans la présente évaluation le temps disponible correspondait à peine à la moitié du temps disponible pour les évaluations de projets complexes similaires d'autres agences de développement.